La saison des pluies aurait dû commencer en avril et permettre de remplir la citerne récemment rénovée. Malheureusement, alors qu’en France, le soleil d’été peine à s’installer, il se montre impitoyable au Bénin et la sécheresse s’installe, brûlant les cultures et laissant les citernes vides. Ces conditions laissent craindre une période de famine et des conditions de vie encore plus difficiles pour les habitants du village. Cela nous motive pour avancer sur le projet de restauration du puits qui s’avère plus que jamais indispensable.